Reboisement à Madagascar

Lancement de la campagne nationale de reboisement 2021

La campagne de reboisement pour l’année 2021 a été lancée mardi à Madagascar avec pour objectif la plantation de 75 millions d’arbres.

« Celui qui plante un arbre est un patriote, celui qui brûle la forêt, brûle la terre des ancêtres », tel est le thème retenu pour la campagne de cette année qui a été officiellement lancée par le Président Andry Rajoelina, à Taolagnaro, dans la partie Sud de l’île. Cette journée n’est qu’un début puisque la campagne doit s’étendre sur plusieurs mois de l’année.

Le choix du Sud pour entamer cette opération de reforestation n’est pas un hasard. En effet, cette partie de l’île est en proie à la sècheresse due à l’insuffisance des eaux de pluies et qui entraîne la famine chez la population locale. Cette année, la Grande île a fait face à une grande pénurie d’eau dans plusieurs régions et qui est liée à une dégradation permanente de l’environnement. Selon le Ministère de l’environnement, le pays a déjà perdu 90% de sa couverture forestière à cause des feux de brousse.

Dans l’une de ses promesses de campagne, le Président Andry Rajoelina s’est engagé à agir pour la reforestation du territoire national et redonner l’appellation d’ « île verte » à Madagascar.

Comme l’année dernière, le Chef de l’Etat malgache a choisi la date du 2ème anniversaire de son investiture au pouvoir pour lancer cette campagne.

Reboisement à Madagascar

L’ensemble des équipes du WWF dans nos paysages ont contribué à cet effort national, aux côtés des directions régionales du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, des autorités locales et régionales, des organismes partenaires, la société civile, les jeunes et les communautés. Voici un tour de l’île de nos efforts communs :

  • Dans le disctrict d’Ambilobe, au nord-ouest, Paysage du Nord du canal de Mozambique / Diana : 20 hectares de mangroves à Anjiabe, 10 hectares à Ankiabe et 10 hectares à Ampotsehy, aux côtés des communautés locales. Des institutions privées et organismes de conservations dont WWF collaborent avec la Direction Régionale de l’Environnement et du Développement Durable de Diana pour ces reboisements.
  • Dans le Menabe, Paysage Manambolo Tsiribihina : 18 hectares de jeunes plants autochtones ont été plantés au Kirindy Village et 6,5 hectares, correspondant à 6 500 plants à Lambokely pour reverdir les forêts sèches de Menabe Antimena.
  • Dans la Région Sava, Paysage des Hautes Terres du Nord : 38 000 jeunes plants ont été mis en terre à Vohémar par environ 4 000 personnes dont les communautés appuyées par WWF ce 21 janvier dernier. Pour cette région, l’objectif principal est de restaurer les forêts dégradées par les feux.
  • Les pandas ont également contribué au reboisement de 17.000 plants de bambou, acacia, noni , … à Ambodimontana Ankazabo, commune rurale Morafeno, dans la région SOFIA. Plus de 420 représentants des ONG, des opérateurs économiques, associations et secteur privé ont reboisé sur un terrain de 12 hectares.
  • Au sud-ouest de Madagascar, Paysage Mahafaly : la campagne régionale de reboisement a été lancée le 22 janvier à Sakaraha. 250 000 jeunes plants dont des acacias des tamariniers etc. ont été plantés sur une surface totale de 100 hectares. Les pandas du WWF y ont planté 2 hectares.  À charge maintenant pour nous d’assurer le suivi pour que chaque jeune pousse planté grandisse sereinement pour les années à venir.
CHARBON DE BOIS

Le bois comme énergie renouvelable a Madagascar en 2021

Une large partie de l’opinion soucieuse de préserver l’environnement, dans une chaîne de contradictions, affirme qu’il faudrait s’abstenir de « charbonner » la forêt afin de la sauvegarder. Ce dernier refuge du monde sauvage ne saurait être exploité, quand bien même il s’agirait d’en tirer une énergie verte et renouvelable. L’usage énergétique du bois serait fauteur de déforestation ou conduirait à une sylviculture intensive, l’une comme l’autre étant synonymes de perte de « nature » et de « paysages », mais aussi de la biodiversité et des ressources dont dépendent les sociétés humaines

La vie et la mort des civilisations est-elle liée à la vie et à la mort de leurs forêts ?

Le bois-énergie représente toujours aujourd’hui à l’échelle de la planète 9 % de la consommation mondiale d’énergie primaire (45 % en Afrique et 20 % en Inde) et  est l’autre grande cause, avec l’extension des surfaces mobilisées pour l’élevage de la déforestation, avec toutes ses conséquences en cascade pour l’environnement et la sécurité des populations. 

 

La priorité est la gestion durable et la conservation des forêts tropicales existantes à Madagascar et ailleurs en Afrique. Connaître ces forêts tropicales, en comprendre le fonctionnement et prédire leur évolution, suite aux perturbations provoquées par l’Homme ou par les changements climatiques, constituent un préalable à toute gestion forestière raisonnée.

 

L’exploitation des forêts tropicales doit en effet préserver sur le long terme les différentes fonctions écologiques, économiques ou sociales de ces écosystèmes. La gestion raisonnée de ces forêts tropicales implique le développement de décisions éclairées à tous les niveaux, en particulier au sommet des Etats Africains. (Pour le brésil on oubliera ). Les arbres des forêts tropicales absorbent de grandes quantités de CO2 atmosphérique et ces milieux forestiers sont un des principaux puits de carbone terrestres.

Des menaces directes et indirectes sur les forêts tropicales

L’agriculture est de loin la principale cause de déforestation tropicale avec aa Madagascar la migration de réfugiés climatiques du SUd  qui ravagent des zones forestières protégées en faisant du Tavy.

Les forêts peuvent être assez résilientes aux activités traditionnelles d’agriculture sur brûlis à petite échelle mais pas avec l’agriculture intensive et permanente.

CULTURE SUR BRULIS OU TAVY

La conversion des terres pour l’élevage est une source de déforestation importante enAmazonie et Amérique centrale notamment :  Les taux de déforestation suivent le  prix de la viande de bœuf sur les marchés mondiaux, et le phénomène est  connu sous le nom d’« effet hamburger ».

Pour ce qui est du rôle des activités forestières à proprement parler, on peut citer la conversion de forêts naturelles en plantations forestières industrielles. 

L’exploitation intensive du bois, les pratiques illégales ainsi que la construction de routes et autres infrastructures en zone forestière sont des causes directes de déforestation.

La pauvreté est un facteur de déforestation car les activités des populations locales sur les forêts sont relativement marginales . Elles ne  deviennent problématiques pour la forê en raison d’incitations gouvernementales à la conversion des terres.( Brésil)

 

Aujourd’hui la  grande inconnue est l’évolution de la mortalité des arbres liée aux sécheresses et aux maladies. Les chocs sont plus importants qu’on ne le pensait .

Par exemple , 1,1 °C de réchauffement global et  l’occident  connaît déjà des sécheresses à répétition d’une ampleur inédite qui fragilise la capacité de résistance des arbres et élève le risque d’incendie. 

Liées à la sécheresse actuelle, , les attaques de scolytes affaiblissent les défenses des arbres ravagent aujourd’hui les forêts temperees. 

Le monde à 2°C visé par la COP 26 sur le climat pourrait être beaucoup plus impactant qu’on ne le croit. 

En fait on construit des plans nationaux et des scénarios prospectifs comme si cet objectif de réchauffement global allait effectivement être atteint, alors que chaque jour qui passe dessine toujours plus sûrement un monde à 3 ou 4° de réchauffement à la fin du siècle.

Electricien Paris 11

Quand il faut installer un nouveau circuit

Savoir quand installer un nouveau circuit dans votre maison ou votre entreprise peut sembler être une tâche ardue. Après tout, vous n’êtes pas un électricien, et la recherche des détails vous semble stressante ! Ce à quoi nous répondons chez l’entreprise de dépannage électricité générale : « Pas de problème » !

Il existe des cas et des situations spécifiques où l’installation d’un nouveau circuit est vraiment nécessaire, et tout compte fait, il est assez clair quand vous en avez besoin. Enfin, si vous savez ce que vous cherchez.

Vous avez besoin de l’installation d’un nouveau circuit pour votre maison ou votre entreprise ? Contactez des spécialistes dès aujourd’hui !

Qu’est-ce qu’un circuit ?

Nous allons sauter la leçon de science et vous épargner les détails de la loi d’Ohm (bien que ce soit une lecture assez intéressante), et d’autres lois qui s’appliquent aux circuits.

Ce que vous devez savoir, c’est qu’un circuit est un dispositif dédié qui abrite l’électricité réservée à une tâche spécifique. Comme un circuit pour faire fonctionner votre réfrigérateur, ou pour brancher votre sèche-linge.

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter un expert électricien Paris 11.

Pourquoi auriez-vous besoin d’un nouveau circuit ?

Un circuit fonctionne en boucle, fournissant de l’électricité à l’objet qui en a besoin, puis renvoyant l’électricité à la source (votre panneau électrique) lorsqu’il est allumé ou éteint. Alors, pourquoi auriez-vous besoin d’un nouveau circuit ? Il y a deux cas principaux :

Lorsqu’un circuit existant est défectueux

Si votre circuit ne fonctionne pas correctement, il est évidemment temps de le remplacer. Ne pas le faire peut créer de sérieux problèmes, dont le moindre est que vos appareils ne fonctionne pas. Un circuit défectueux peut présenter de graves dangers pour votre maison et doit être réparé immédiatement.

Un déclenchement trop fréquent du disjoncteur. Vos disjoncteurs sont conçus pour se déclencher lorsqu’un circuit présente une menace comme une surcharge. Lorsqu’un circuit est défectueux, le disjoncteur peut se déclencher très fréquemment. C’est un signe certain de problème.

Fonctionnement figé ou bégayé de vos appareils. Si votre réfrigérateur, votre cuisinière, votre séchoir ou vos petits appareils électroménagers s’allument et s’éteignent de façon répétitive, il y a probablement un problème de circuit.

Les appareils ne sont pas alimentés, ce qui les rend inopérants. Une bonne méthode pour vérifier si c’est l’appareil ou le circuit qui est en cause consiste à brancher un autre appareil sur le circuit. Il fonctionne bien ? Alors c’est l’appareil. Il ne fonctionne pas non plus ? C’est probablement le circuit, alors.

Lorsque vous envisagez d’ajouter de nouveaux  appareils

L’autre moment où il est courant de faire installer un nouveau circuit est lorsque vous prévoyez d’ajouter des appareils nouveaux, améliorés ou existants à votre maison. De nombreux appareils électriques d’usage courant nécessitent beaucoup d’énergie, et les brancher sur un circuit existant partagé avec d’autres articles entraînera probablement le déclenchement du disjoncteur.

Pourquoi ?

Parce qu’un circuit est conçu pour fournir une quantité très spécifique de puissance, via votre disjoncteur. Si vous dépassez la limite fixée par le disjoncteur pour votre circuit, le disjoncteur se déclenchera et refusera l’alimentation. C’est pourquoi les réfrigérateurs, la climatisation, les lave-linge, les sèche-linge et les micro-ondes ont souvent un circuit dédié.

Desertification et deforestation

Dégradation et de l’épuisement des sols dans le monde et a Madagascar

Près de 40% des terres cultivables de notre planète sont dégradées 

En milieu semi-aride les techniques mécanisées de travail de la terre (labourage) engendrent un émiettement excessif, un tassement et un compactage  des sols, l’érosion, le ruissellement,  l’appauvrissement et le dessèchement des terres.

Le problème de la dégradation et de l’épuisement des sols dans le monde

L’épuisement et la dégradation des sols contribuent à la faim et à la pauvreté dans un bon nombre de région dans le monde (Afrique subsaharienne, Madagascar, Haïti).
La production alimentaire n’a pas suivi l’augmentation de leur population en raison de mauvais choix gouvernementaux.

La productivité des systèmes agricoles traditionnels tels que la culture sur brûlis a chuté (tavy).

L’appauvrissement des populations sub-saharienne les pousse à émigrer enrisquant leur vie, pour tenter d’obtenir de meilleurs conditions de vie.

Maintenant avec le Covid-19 plus de un milliard de personnes souffrent de la faim

Ces terres en danger nécessitent d’autres techniques agricoles, en particulier de fertilisation des sols..La fertilisation de ces terres permettrait de nourrir plus de personnes.

•Si on peut augmenter la productivité agricole par des techniques d’amélioration de la fertilité des sols, l’utilisation d’espèces nourricières productives, de meilleurs techniques de cultures_, une partie de cette émigration dramatiques tarirait.

Les causes de l’infertilité et de la fragilité des sols

Les sols se mettent en place sur plusieurs millions d’années.

Les sols se degradent tres vite a Madagascar : Des épaisseurs de 3 à 4 m de sol peuvent être ainsi emportés après déforestation (Tavy ) , en une saison des pluies là où le sol forestier avait mis des millions d’années à se constituer

Les Influences climatiques

Dans des climats très froids (toundras de l’Arctique, Islande ou très secs comme  les steppes ou déserts au Sahara, les sols sont très lents à se régénérer. Dans Ces sols infertiles, le taux de croissance des plantes est tres faible.

Les sols de certaines régions sont si anciens qu’ils ont perdu leurs éléments nutritifs, sous l’effet de la pluie, au fil de
millions ou de milliards d’années (Australie …).

Les sols tropicaux recevant de fortes précipitations sont aussi souvent lessivés et donc aussi peu fertiles.

Le problème de la culture sur brûlis ou Tavy

La culture sur  brûlis ou tavy provoque un effondrement dramatique des rendements agricoles après cinq à six années de
d’exploitation  à cause de l’appauvrissement des sols et de l’invasion des mauvaises herbes qu’elle provoque …..

L’agriculteur se trouve contraint d’abandonner sa parcelle au profit d’une nouvelle
zone  brule en zone forestière ( Menabe en particulier ) provoquant petit à petit
l’appauvrissement de toutes les surfaces des terres cultivables et la déforestation de zone autrefois boisee.

La persistance de cette pratique néfaste, pour le pays, est culturelle et se transmet de génération en génération. Elle est aggrave par la grande secheresse dans le Sud de Madagascar qui pousse des agricuteur a migre dans des zones proteges et a pratique la deforestation pour planter du mais.

resultat de la deforestation
On pourrait l’éradiquer le tavy  d’éducation et surtout
avec ’exemple édifiant de récoltes abondantes obtenues
avec les nouvelles techniques de permaculture.

Conjointement il faut le probleme du Kere dans le sud pour prevenir la migration des populations qui vient ravager les reserves protegees du Menabe.

 

Solution agroforestière et permaculture

Il faut intercaler  des plantations d’arbres qui fournissent de azote et de l’ombre , suffisamment espacés, des culttures de plantes alimentaires .

En régions tropicales sèches  comme le Menabe on peu utiliser de Albizia lebbeckericea ( utilise pour produire de l’ombre dans les plantations de acfe), Acacia mangium ( espècede la famille des Fabacées qui  peuvent atteindre 30 m de hauteur. Ils sont originaires du nord-est de l’Australie et du sud-est asiatique. Il fixe l’azote atmosphérique grâce à des bactéries symbiotiques vivant dans ses racines. Cette particularité et sa croissance rapide font qu’on essaie de le cultiver dans des zones où les sols sont pauvres en azote.), Tamarindus indica qui est une espece locale avec de nombreuses vertus médicinales.

Autres plantes alimentaires fixatrices d’azote:

Le haricot rouge Phaseolus vulgaris niébé  :

Avantages :

  • améliorer naturellement la fertilité des terres,
  • les rendements agricoles (Sans introduction d’intrants artificiels, tels qu’engrais chimiques }
  • lutter contre le ruissellement, d)
  • avec des arbres apporter des revenus complémentaires etc

Si vous voulez aidez nos actions pour replanter des arbres, creer des point d’eau pour irriguer, eduquer les poulations locales alors contactez nous

 


bûche de nuit

Zoom sur la bûche de nuit fabrication, astuces et infos pratiques

Vous l’avez sans doute remarqué, il existe deux types de bûches compressées : la bûche de jour et la bûche de nuit. Pour rappel, la bûche compressée est le fruit de résidus de bois ayant été compressés à plus de 300 bars. L’on obtient après compression une bûche solide, propre et compacte. Les bûches de jour et de nuit sont toutes deux écologiques et économiques. Utilisées à bon escient, les bûches de bois compressé vous faciliteront la vie.

 

Bûche de nuit : fabrication et composants

bûches de bois

La bûche de bois compressé de nuit est composée d’écorce d’arbre déchiquetée et de sciures de bois. L’essence des écorces non traitées a un véritable impact sur le pouvoir calorifique et la durée de flambée du bois.

 

Info pratique : les composants (écorces) provenant d’arbres feuillus, du chêne ou du hêtre, offrent une plus longue durée de chauffe que les écorces d’arbres résineux.

 

La fabrication des bûches de nuit se fait comme suit :

— Collecte des sciures et écorces non traitées par les industriels

— Nettoyage des écorces de bois (dépoussiérage, etc.)

— Broyage et séchage des composants

— Ensuite, l’on mélange les sciures aux écorces sèches et déchiquetées

— L’on procède finalement au compactage à chaud à forte pression.

 

Notez bien qu’il n’y a ni ajout de colle ni ajout de substances chimiques. La composition est entièrement naturelle donc 100% écologique.

 

Buche de bois compressé de nuit : astuces d’utilisation.

 

Pour bien utiliser vos bûches de nuit, voici quelques conseils d’utilisation :

 

— Il est préférable de laisser quelques restes de flambées de vos bûches de jour dans votre appareil. Cela permettra ainsi à votre bûche de nuit de s’allumer plus rapidement et d’éviter toute pollution et/ou fumée.

 

— Prenez compte de l’espace à chauffer. Il est nécessaire de mettre le nombre de bûches adapté à l’espace à chauffer dès le début. Sachez que rajouter des bûches durant la nuit pourrait détériorer votre appareil de chauffage plus vite. Un espace moyen se contentera de 2 à 3 bûches de nuit pour toute la nuit.

 

— Avant d’aller vous coucher, mettez le tirage de votre poêle au plus bas. Vous aurez ainsi un chauffage plus durable, soit 8 à 10 h. En revanche, pour faciliter l’embrasement de nouvelles bûches, ouvrez le tirage au maximum.

 

— Pour bloquer l’arrivée d’air par le bas de votre appareil, veillez à entreposer vos bûches l’une contre l’autre, et veillez à toujours avoir un lit de cendres.

 

Bûche de nuit, 5 fois plus durable que la bûche de jour

 

La différence entre la bûche de jour et la bûche de nuit est sans doute la durée de flambée. En effet, les buches de nuit durent plus longtemps que celles de jour. Vous aurez ainsi un meilleur confort thermique durant toute la nuit sans vous lever à chaque fois pour rajouter une bûche. SI l’on compare, une bûche de jour vous offre des flambées de 1 h 30 à 2 h, et les bûches de nuit entre 6 h à 10 h. Une nette différence !

 

Néanmoins, le pouvoir calorifique des bûches de nuit est inférieur à celui des bûches de jour. Ce fait n’est pas du tout un inconvénient, car sachez que vous n’avez pas nécessairement besoin de haute température la nuit. Avec une température constante enter 14°C et 18°C, les bûches de nuits vous offrent un confort thermique appréciable.

Pour en savoir plus, contactez nous 09 77 426 136 (8h-17h).

 

Accacia Mangium

Les plantes invasives a Madagascar et leur dangers

Une plante est considérée comme envahissante au sens large car problématique par sa capacité de colonisation qui dans certaines circonstances en font une espèce invasive.
une plante envahissante est « Espèce exotique naturalisée dans un territoire qui modifie la composition, la structure et le fonctionnement des écosystèmes naturels ou semi-naturels dans lequel elle se propage».

Au sens strict c’est une plante autochtone ou allochtone ayant la capacité de coloniser rapidement une zone et de se propager très loin des plants parents, tout en laissant la possibilité à d’autres espèces de cohabiter, voire de leur succéder

Une plante est dite d’invasive si son introduction volontaire ou fortuite dans un milieu naturel ou semi-naturel déséquilibre et provoque d’importantes nuisances, souvent irréversibles, à la biodiversité d’un écosystème. Une espèce envahissante est une espèce non indigène (y compris les semences, les œufs, les spores ou d’autres propagules) dont l’introduction cause ou est susceptible de causer un préjudice économique, dommages à l’environnement, ou de nuire à la santé humaine.

Le terme «envahissante» est utilisé pour les espèces les plus agressives. Ces espèces croissent et se reproduisent rapidement, entraînant la perturbation majeure dans les domaines pour lesquels elles sont présentes.

Les espèces envahissantes, quand elles ne sont pas maîtrisées, peuvent et vont limiter l’utilisation des terres, maintenant et dans l’avenir.
Le plus souvent, avant leur venue, nous ignorons le problème le plus difficile et plus coûteux qui est celui de la bataille à venir pour leur contrôle.

Dangers pour la biodiversité et autres problèmes.

Les problèmes écologiques causés par les plantes invasives peuvent eux-mêmes engendrer des problèmes sociaux, mais aussi économiques. La gestion de ces plantes devient d’autant plus difficile que leur expansion est avancée.
Les espèces exotiques envahissantes sont considérées comme la deuxième cause d’érosion de la biodiversité juste après la destruction et la fragmentation des habitats

Disparition des plantes locales

Les plantes invasives s’installent de manière agressive, massive et définitive, supplantant les plantes indigènes

Diminution de la biodiversité

Les plantes invasives rendent les milieux naturels inhospitaliers pour les autres espèces. La modification ou la fermeture des milieux par les plantes invasives entraîne une perte de la richesse en espèces des écosystèmes.

Perturbation des activités humaines : pêche, chasse, navigation…

Les plantes invasives forment des zones impénétrables limitant l’accès au site, l’écoulement des eaux, les activités de pêche, de navigation et les loisirs nautique

Coûts économiques des especes invasives

Les plantes et animaux envahissants coutent à l’économie autour de 1,7 milliard de $, chaque année, de dommages aux bâtiments, routes, forêts et exploitations
agricoles
218 espèces ont cependant été introduites tout à fait intentionnellement, dans la quasi-totalité des cas à des fins de lutte biologique et essentiellement pour l’horticulture et les cultures ornementales (468 espèces, soit 29 %), les évadées plus ou moins non intentionnelle
Le coût lié aux dégâts des espèces invasives dans le monde s’élève à 240 $ par an et par personne

Comment les plantes invasives ont-elles voyagé ?

Elle peuvent avoir été transportées involontairement, via le transport des biens et personnes .

Elle peuvent avoir été rapportées volontairement, pour agrémenter les jardins botaniques, ou tous les jardins, à cause de leurs qualités ornementales.

Elles peuvent se propager par la modification des habitats par l’homme
L’introduction de plantes très compétitives comme les goyaviers de Chine dans de nombreuses îles a été une cause fréquente de régression rapide de leur biodiversité.

Certaines espèces sont invasives … mais utiles aussi

L‘Acacia mangium, un des arbres poussant le plus vite au monde, fournit un bois de qualité et il fertilise les sols .
L’huile essentielle extraite des feuilles des camphriers est utilisé comme un antiviral majeur, un excellent immunostimulant et décongestionnante.
On extrait des feuilles de Niaouli (Melaleuca quinquenervia) offre une huile essentielle antidépresseur

Le problème des espèces invasives se pose dans les îles tropicales, comme Madagascar.

Les conséquences de l’introduction d’une espèce au sein d’un écosystème s’avèrent extraordinairement complexes à évaluer.
Les effets produits sur la faune peut s’avérer même souvent positifs: Le goyavier est l’exemple d’une espèce invasive dont l’intérêt économique est avéré. Le monde de demain comptera davantage d’espèces invasives, mais ne méritera pas pour autant d’être tenu pour mauvais »

Baobab de grandidier : baobab sacre

Baobab de Grandidier ou Adansonia grandidieri

Le Baobab de Grandidier’s alias Adansonia grandidieri est endémique du sud-ouest de Madagascar, dans une zone qui commence juste au nord de Morondava et finit juste au nord de Morombe. On le connait plus particulièrement grace a l’avenue des Baobabs.

  Adansonia grandidieri est localement nommé “renala” ou “reniala”, ce qui signifie “mère de la forêt” ; c’est le baobab le plus estimé et le plus couramment exploité de tous les baobabs malgaches. La pulpe du fruit et les graines se consomment fraîches. Une huile de cuisson est extraite des graines, et dans certains villages voisins de Morondava, on donne les fruits à manger aux chèvres, qui digèrent la pulpe mais excrètent les graines intactes.

Lire la suite

Qu’est ce que la capillarité et l’eau capillaire du sol?

Qu’est ce que la capillarité et l’eau capillaire du sol?

Les arbres ‘boivent’ de l’eau capillaire. Leur instrument pour boire de l’eau capillaire est leur racine principale. Sur cette photo vous pouvez voir les racines principales allant vers le bas sur le sol sombre. Ce sol est sombre à cause de la teneur en eau dans les canaux capillaires.

Lire la suite

Pourquoi planter de l’Anakaraka

Pourquoi planter de l’Anakaraka  ( Dupuya madagascariensis )

Il est particulièrement resistant aux intemperies ce qui en fait une alternative au teck.

Le bois de Dupuya madagascariensis n’est  pas vendu sur le marché international des bois d’œuvre mais il est tres exploite en menuiserie a Madagascar

 

Lire la suite